Liberty party (Yellowjacket/Skourge le 10/03/07)

La petite vedette avait amenné Janet jusqu'a liberty Island. La fête allez se dérouler dans une véranda montée expré ici. Seul les plus grande richesse et gratin de la jet set était présent. Janet aurait eut un mal fou à descendre de la vedette sans l'aide d'un autre invité qu'elle remercia.
Elle lui pardonna d'avoir plongé son regard dans son décolté parce que sa robe était une véritable tentation, et qu'elle en était consciente. Seul deux fin bout de tissus caché sa poitrine et le décolté désendait jusqu'au ventre.
Elle l'avait mise pour être un des pilliers de la soirée. Elle détester la solitude et avoir tous ses hommes, espérant pouvoir profiter d'un futif mouvement de tissu l'amusée. Sinon elle ne serait pas venu. Elle n'aimait ni les rond de jambes, ni les playboy. C'est pourquoi elle gardait son ton cavalier et aimé à les remettre à leur place.

"Et bien, rincez vous les yeux après ça, goujat."

S'amusa-t-elle à dire à l'homme en posant le pied sur la terre ferme. Enfin sur les lattes du planché en bois. Des marches montait à la véranda qui prenait des air de maison sur pilotit. Les organisateurs avait fait ça bien et le tous paraissait solide. Du moins tant que la construction ne serait pas exposer au feu. C'est pour cela qu'une interdiction de fumé était présente. Janet ne pu s'empêcher de sortir son porte cigare et ses longue cigarette. Elle mit l'une dans l'autre et porta le tous à la bouche et alluma la cigarette avec son briquet.
En entrant dans l'arene tous les yeux fut donc sur elle. Sa beauté iradiait la piéce tandis qu'elle retira doucement le porte cigare de sa bouche et avec un geste lent lui fit, suivre au petit bous embrasé, son décolté puis arrêta sa main sur ses hanche avant de laissait la fumé sortir d'entre ses lévres.

Au milieu du strass et de l'agitation, James attendait sa cible non sans impatience. Sa nouvelle mission, la deuxième d'importance par ses employeurs du moment, était surprenante au vu de son curriculum. Pas de meurtre, pas de carnage ou de torture. Sur ce dernier point, il ne pouvait qu'approuver. Tout de même, il avait failli refuser. Lorsqu'on lui assura qu'il ne le regretterait pas, que cela pourrait même lui plaire, il s'était dit que c'était une façon comme une autre de garder son job.

Il le regrettait déjà. Ces pintades et empaffés qui se dandinaient en regardant leur propre succès lui tapaient sur le système. Le buffet d'un des grands traiteurs à la mode à New York n'avait pas ses faveurs. Tous ces gens qui se laissaient photographier, aborder et complimenter à l'envi lui coupaient le peu d'appétit qu'il avait. Ses doigts métalliques, enveloppés comme son visage sous une peau synthétique, battaient la mesure sur son pantalon de costume qui le démangeait. La musique lui semblait désordonnée et sans beauté, mais c'était le dernier cri, et pas du genre qu'il avait coutume de faire pousser. Tant pis.

Levant les yeux vers la salle, soudain, il la vit entrer. Souveraine, décontractée, sans complexe et sans faux airs. Un porte-cigarette aux lèvres, en dépit des instructions dues à l'architecte. Ses lèvres paraissaient pulpeuses et froides. L'aspiration de la fumée chaude changeait imperceptiblement la couleur de ses joues fermes et bien dessinées. Sa robe était divine. Son corps paraissait, tout en ajours. C'était vraisemblablement une femme de goût et de caractère, qui ne s'en laissait pas conter. C'était elle, son contrat. Une main glissée dans sa poche de veston, un coup d'œil à la photo et il en fut vraiment certain. Janet van Dyne, diva de la mode et cible des traits impitoyables des tabloïds. Ses hanches étaient parfaites. Il devait simplement la rencontrer, et lui faire une offre, la même dont il bénéficiait. Et pourquoi ne pas joindre l'agréable au nécessaire...

Devans l'insitance des hommes de la sécurité à étendre sa cigarette, Janet dû abdiquer. Après tous, elle ne voulait pas paraitre aussi futile et enfants gâter que le reste des invités. La musique éléctro ne lui plaisait guére et elle eut un sourire en voyant le ridicule des gestuelles des danceurs. Ils vouluent juste être à la mode et n'avait aucunes coordinations. Encore les vrais amateurs de cette musique paraissait moins stupide. Mais, lorsqu'elle vit de vieille dindon esquisé les mouvements, elle ne pu s'empêcher de rire. Pour éviter de se faire remarquer, elle se dirigea vers le bar en tentant d'étouffé son rire.
Comme d'accutumer un banc de playboy la suivit ravit du spectacle que les rires de la jeune femme permettait de leur offrir.
Seul un beau ténébreux restait à l'écart au bars et ne la fixa pas avec le même regard envieux. Il y avait une sensation de danger qui interpellait Janet. Mais comment se débarraser de ses admirateurs, pour l'aborder. Elle ne pouyvait décemment pas réduir sa taille. D'abord parce qu'elle ne portait pas son costume. Ensuite parce que la robe resterait à la même taille et enfin par ce qu'elle ne porté que pour seul dessous, un string !
Obligé de leur sourire et de leur répondre. Elle tournait ses phrases de façon à les ridiculisé au troisième degré. Mais soi ils ne comprenaient rien, soit ils tenaient à tous risquer pour l'avoir dans leur lit. Car il s'entassé toujours autant près d'elle. Elle subit buvant le musca que lui offrait le barman, et jouéait les fins esprits en espérant que cela face fuir son public masculin.

Les riches jeunes gens hésitaient entre le méprit et l'indignation. Comment osait-il leur parler ainsi ? Qui était-il d'ailleurs ? Le manque de sourire et son attitude les empêchèrent de répondre. Et oui, tout golden boys qu'ils était, ils était couard. Ainsi le petit groupe se disloqua en voyant que la jeune femme ne prenait pas leur partie. Janet se rapprochait d'ailleurs de l'inconnu et le remercia d'un faible mouvement de tête.

Une fois le dernier resistant partit sur la piste janet dit à son sauveteur.

"Merci, bien ! Ils me donnaient un mal de crâne impréssionnant à bourdonner autour de moi."

Elle rie pour elle-même de cette espression convaincu que son interlocuteur ignorait sa double identité.

"Ca m'apprendra à jouer à l'enjoleuse. J'ai eut le retour du baton. Mais, je deteste tellement ce genre de réunion que quand on est obligé de venir faut bien s'amus..."

Elle s'interompit consciente que son interlocuteur ne partageait peut être pas ses goûts.

"Euh, escusez moi. Je me présente Janet Van Dyne et vous êtes ?"

Dit-elle en diversion.

Janet sourit en l'entendant affirmer avoir des cigares. Et les meilleurs de surcroit. Elle fit un signe vers le haut de la statue. Seul la courrone pouvait leur servir de retrait. Elle sourrit et déclara sur de sa déssision.

"Le dernier en haut à un gage."

Puis elle réduit à taille de moustic laissant sa robe flotter dans l'air. Elle s'envola vers la courronne mais pas avant d'attrapper sa robe par une bretelle.

Janet riait en devançant son poursuivant. Sur d'elle, elle se permit de voletter autour de l'homme qu'elle courtisait.

"Voulez vous bien tenir ma robe elle me rallentit."

Mentit-elle en la lachant.

Sur que sa plastic parfaite avait déconsentrait l'adversaire, elle lacha son morceau de tissu attérit sur le visage de l'homme.

"Mon dieu. Mais comment vais-je me être présentable, si vous garder ma robe. Je me le demande bien."

Dit-elle, faussement timide, en accélérant et en piquant vers le haut des escaliers. Il y avait tous juste assez d'espace pour elle. Elle était donc sur d'arriver la premiére en haut. les escalier étant en spiral, il faudrait beaucoup plus de temps à Buck.

"J'en connais un qui va devoir accepter son gage."

Cria-t-elle à l'intention de Buck.

Une fois en haut. Elle reprit sa forme humaine toutes existait d'entendre les pas précer de Buck. Elle ne porterait plus rien à son arrivait. Elle espérait qu'il accepte son gage de plein grès.

La jeune femme sourit en voyant son futur amant arriver. Ah son regard elle su qu'il n'avait pas comprit son gage. Elle en fut déçu. Après tout, elle nue comme eve, dans un lieu froid et solitaire, n'aurait-elle pas besoin d'être réchauffer par un autre corps. Elle ne pensait guére qu'il trouverait ça puéril. Ou même qu'il pourrait être choqué d'être utiliser comme un objet. Non dès qu'il arriva à sa hauteur, elle se jeta sur lui, se qui faillit les faire chutter, et l'embrassa. Puis sentant le métal froid sur son corps et l'inhumanité de son visage. Elle eut une seconde de doute. Rien qu'une seconde. Mais sa passion pour Buck était plsu forte que sa spécifisité. Elle se moquait de ce à quoi il ressemblait. Elle savait qu'elle aimait l'homme qu'elle avait rencontrer près du bar. Qu'importe s'il portait un masque ou non. Elle persévéra donc avec un baisé langoureux.

Elle se réveilla près de son amant. Lui fumait un cigare. Un comme ceux qu'il lui avait promi. Il lui en tendit un d'ailleur. Leur amour avait été fort et brutal.
Elle avait été surprise d'avoir aimée. Aillant été violée, cela aurait pu lui rappeler de mauvais souvenir. Mais au contraire, ça eut l'effet inverse de pouvoir reléguer cette affaire au passé. Elle le remercia d'un bisou en prenant le cigare.
Encore une fois elle n'eut pas peur de ce qu'il penserait. Elle savait que leur relation risquait de ne pas durée. Ils été trop différent. Par contre elle avait bien l'intension d'en profiter.
Elle tourna son visage vers le sien, son masque avait disparu, mais elle sourit en pensant à comme il avait été beau. Elle dit une étincelle de malice dans les yeux.

"Alors dit moi, pourquoi cherchais-tu as m'aborder Buck ? J'ai peut-être l'air idiote mais je ne le suis point. J'ai un second sens pour savoir quand quelqu'un me cherche. On peut appeller sa une seconde nature consécutive à des problèmes avec les forces de l'ordre."

Elle envoya la fumé en l'air et rie avant de regarder de nouveau les beau yeux de son amant.

Grâce à ses pouvoirs, James n'avait pas besoin de beaucoup dormir. A vrai dire, il ne s'était pas réellement endormi ce soir-là. Pas en mission, c'est une évidence. Il avait pu en profiter pour réfléchir à ce qui s'était passé. Il avait ressenti une véritable force d'attraction envers cette jeune femme, et il semble que cela avait été réciproque. La rencontrer était son objectif de mission, et la rencontre avait mis le feu à une poudrière dont il ignorait la présence. Il avait senti les explosions dans sa tête, son cœur battant la chamade pour la première fois depuis longtemps. Mais il pensa aussi que cela s'était passé trop facilement. Il se pouvait qu'ils aient été manipulés. Il était trop habitué à accepter des ordres de mission, peut-être devait-il être plus méfiant avec ce Club qui l'employait.

Une heure et demie avait passé. Le vent froid l'avait tenu éveillé, et quand, après un long soupir, il résolut qu'il pouvait se permettre un cigare, il dégaina un barreau de chaise et le porta entre ses dents. Le Havane était consumé de moitié quand sa fougueuse compagne d'un soir pointa son nez au-dessus du sol. Il sortit un autre cigare, qu'il alluma pour elle avec son vieux zippo. Puis elle sourit et finit par lui poser la question qu'il attendait. Quand ce n'est pas pour égorger les gens, James préfère se laisser trouver.

"Ouais, tu voudrais savoir. Tu sais bien que ça allait venir, de toutes façons. Eh bien, on m'envoie te dire qu'une vraie aristocratie existe. Cachée, certes, mais n'est-ce pas le meilleur moyen de se préserver de ce vacarme si nouveau riche... Ne te trompe pas, ces personnes-là ne vivent pas coupées du monde. Mais ils savent reconnaître leurs pairs et n'ont pas besoin de le faire en public. Ils pensent que tu pourrais partager leur vision du monde. Quelque chose en rapport avec son Salut, donc rien de bien effrayant. Un peu naïf, mais... Tu veux en entendre plus?"

Après sa tirade, il ralluma son cigare et forma quelques anneaux de fumée, ce qui n'est pas aisé lorsqu'on n'a pas de lèvres.

Janet l'écouta avec intérêt. Alors d'autre peronnes se couperaient de cette richesse pervertie pour mieux servir leur contemporain. Bien sur cela l'intéressait. Mais elle ne voulait pas paraître aussi futile que sautait sur place parce qu'elle était acceptée dans un club privée. Elle voulu savoir ce qui les avait interpellés en elle.

"Et a ton avis. Qu'est-ce que je pourrais leur apporter ?"

Elle voulait aussi savoir si il se verrais encore. Et si dans de tel condition leur relation ne serait pas inaproprié. Mais elle n'osait l'évoqué encore. Alors elle se blottit contre le corps de cette homme, comme à une encre et attendit qu'il la guide. Malgré le danger qu'il dégageait, elle espérait pouvoir lui faire confiance.

Pour toute réponse janet embrassa son partenaire en même temps que la cause de ceux qui l'engageait. Elle aurait aimé encore resté ici mais elle sentait qu'il allait bougé. Qu'ils devaient rencontrer les autres membres de cette étrange association. Mais avant tous elle lui posa la question qui lui brulait les lèvres.

"Poserons nous un problèmes ?"

Janet le regarda droit dans les yeux et répondit franchement.

"Mais je ne parle pas d'amour. Plutot de relation ... Amicale et plus si affinité quand on en aura l'envie. Mais laisse tombé tu ne dois pas être intéressé non plus. D'ailleur qui le serait."

Elle dit ça comme si elle se foutait psychiquement. Elle avait une confiance limité en elle. Ce soir, elle avait jouait sa grande scéne. Mais pour se défendre dans sa jeunesse elle s'était adapté en se moquant d'elle même. Son viol n'avait rien arrangé et elle croyait fermement méritait ses malheur sentimentaux, ou sociaux. Mais aujourd'hui buck avait sembalit tourné la roue dans un sens plus chanceux. Il s'était aimé, quoi qu'ils en disent, et il lui apportait un groupe qui l'acceptait sans mauvaise contrepartie.

Elle se leva, se réhabilla en déclarant.

"Très bien. Et si on y allait. ainsi je pourrai rencontre ces ... Comment les appel tu déjà ?"

"Allons, de nous d'eux nous savons qui est le plus difficile à retrouver. Et ce n'est pas moi. Je suis rop exetrique et riche pour ça. Qui sait la prochaine fois qu'on se verra je ruinerait sûrement une vente au enchére. Se sera un plaisir en tous cas."

Elle descendit les marches digne. Sans regret. Sans l'attendre. Elle retourné vers une fête sans fin et dignement ennuyeuse. Alors elle se dirigrea vers la vedette et achetta son conducteur pour retourner à terre. Elle savait que d'en haut, buck la suivait du regard. Il ne lui en voudrais sûrement pas. C'était le genre d'homme à prévoir plusieurs sorties.