Une nouvelle recrue..contre son gré ( 9.03.07 dans la soiré)

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On s'imaginait que 10 minutes de route dans une voiture, c'est reposant, tranquille, mais lorsqu'on affronte à pied ce que la voiture affronte, on se rend compte que les éléments ne sont pas doux avec les hommes. IL portait la mutante depuis leur accident, qu'elle-même avait provoqué. IL en avait été réduit à la porter, LUI, le Directeur de l'Arme X! Comment en était-il arrivé là? Après le départ de Skourge, l'Arme X avait petit à petit sombrée dans l'inconnue, ou plutôt replongée dans l"indifférence. Mais à présent, IL avait trouvé celle qu'il lui fallait, LA mutante, sûrement la plus puissante qu'il existe! Et IL la contrôlerait, il arriverait à la matter, la mutos! Elle serait sous son contrôle, à jamais...

L'Homme était fou, fou à lier, mais il en était ravie, ravie de cette folie qui émanait de lui, comme l'odeur de pourriture qui émanait d'un cadavre!!!
Parce qu'à présent, il était un cadavre, ni plus ni moins. IL avait tout perdue, mais IL reconstruirait tout, tout, grâce à cette chère mutante...

Enfin, il franchit la porte du complexe, et put déposer la mutante sur une table d'oscultation, près des cellules de détention, la prison! Il ota ses gants. Grossière erreur, lorsqu'on a affaire à une telle mutante. Malgré lui, il lui caressa les cheveux, puis le visage, quand soudain, il sentit que la vie s'échappait de lui, comme si elle était aspirée.. aspirée par... la ... mutante...

L'homme s'écroula à terre, évanouit. De l'écume se formait déjà au coin de ses lèvres.

Malicia se réveilla lentement. Elle n'avait eu aucune conscience de ce qui s'était passé suite à l'accident, car elle avait perdu conscience en heurtant cette pierre. Elle ouvrit très lentement les yeux, et elle voyait tout embrouillé. Elle cligna plusieurs fois des yeux pour tenter de clarifier sa vision, mais les bords restaient flous. Elle leva la main et la porta à sa tête, puis la retira avec uen grimace quand elle rencontra la très vilaine bosse sanglante qu'elle avait sur la côté de la tête. Elle se redressa très lentement, avec précautions, et resta un moment dans cette position en attendant que le monde cesse de tourner autour d'elle. Puis elle tenta de faire porter son poids sur ses deux bras, et poussa un cri de douleur. Son bras droit lui semblait maintenant remplis de feu et d'aiguilles incandescantes. Elle retomba en arrière et serra contre son flanc son bras blessé.

**Génial, une fracture... Qu'est-ce que je fais, maintenant? Je sais même pas où je suis...**

Et de plus, elle ne voyait personne autour d'elle. Où donc tait passé le type qui l,avait emmenée ici? Cet espèce de cinglé... De toute évidence il n'était pas mort dans l'accident qu'elle avait provoqué, car elle n'était plus dans un champs, mais bien... Elle regarda autour d'elle. Elle était couchée sur une surface métallique froide, une sorte de table d'examens, et plus loin, tout à côté, les portes de ce qui ressemblait à des cellules.

Elle se demandait ce qui l,avait réveillé, aussi... Elle avait eu une sorte de regain d'énergie, comme... la même sensato=ion que quand elle utilisait ses pouvoirs! Elle se pencha au dessus du bord de la table en se servant de son bras gauche, et vit que le type qui l,avait enlevée et emmenée ici était éttendu, inconscient, à côté de la table.

Inconscient?... Pas tant que celà car il commençait déjà à remuer. malicia se leva et se dirigea vers la porte le plus vite qu'elle le pouvait dans son état, c'est-à-dire pas très vite. Tout tounait encore autour d'elle, et elle se demandais si elle n,avait pas une commotion cérabrale en plus du bras cassé.

- je dois... trouver la sortie... C'Est le suele moyen!

Maliciase tourna vers la machine et la regarda avec suspicion. Elle pouvait soit l'ignorer, soit réponde à la question, ou encore tenter de la mettre hors d'état avant de s'enfuir. Cependant, quelques chose lui disait que ce ne serait pas si simple de le faire... Elle lut laquestion et elle regarda encore la machine. Elle enttendit un grognement derrière elle. L'homme qui l'avait enlevée était en train de se réveiller.

La jeune mutante dit, de plus en plus inquiètes, désorientée, et affaiblie par la douleur de son bras blessé:

- je n'ai pas à répondre à une machine...

Et elle fonça ensuite vers la porte, qu'elle tenta d'ouvrir de sa main valide. Elle tira de toutes ses forces sur la poigné, et la porte commença à bouger un peu. Elle enttendit alors un bruit juste derrière elle, et elle se jetta de côté et au sol pour éviter le bras métallique qui tenta de la saisir. Elle lâcha la prote quise ferma de nouveau.

- Hé! laisses-moi tranquille, tas de boulons!

Percevant l'éloignement de Malicia, la machine tenta de l'attraper et de la garder à l'intérieur de la pièce. La fente idoine vomissait sans discontinuer un nouveau rouleau de papier. Levant un nouveau bras métallique, elle déroula au bout ce qui s'apparentait à une scie circulaire, qu'elle leva au-dessus de la tête de la jeune Mutante dans une position menaçante.

A quelques mètres de là, au bas de la table d'opérations, le directeur de l'Arme X soulevait douloureusement sa tête. Il voyait encore trente-six chandelles.

-Que-Que s'est-il passé?

Voilà que cette machine infernale tentait de a couper en rondelle, maintenant! Maicia évita son bras armé d'un scie circulaire en passant entre les jambes de la machine, mais elle atterit sur son bras blessé, ce qui la sonna plus ou moins. En tout cas, l'éclair de doueur qui en résultat la paralysa. Elle enttendit aussi let ype qui l,avait enlevé qui se réveillait et demandais ce qui s'était passé. Quelle poisse, Malicia n,avait pas de pouvoirs contres des machines...

Elle se releva néanmoins et tenta une feinte pour désorienter la boite de conserve roulante, et réussit à atteindre la porte. Elle commença à tirer de toute ses forces, mais d'une seule main, ce n'était pas évident. Elle n,avait réussi à l'ouvrir de quelques centimètres quand un main se posa sur son épaule, cette fois, et elle sentit une piqure dans son cou. Avant qu'elle n'ait le temps de faire quoi que ce soit, elle enttendit ces dernières paroles:

- Tu ne vas nulle part, ma petite... Tu es a moi!

Ce fut le noir, et puis quelques temps plus tard, la jeune fille se réveilla , de nouveau sur la table de dissection, mais attachée cette fois, et elle ouvrit et ferma les yeux à plusieurs reprises pour les éclaircir. Elle avait un sale goût dans la bouche, sans doute un relent de la droggue utiliséée pour l'endormir. Elle leva les yeux et vit l'homme qui l'avait enlevé penché sur elle, un sourire sadique et désagréable collé à la face. Il avait posé une mai - gantée cette fois -sur le front le la mutante. Apparement, il avait apprit sa leçon.

- Enfin de retour hez les vivants? Bien!

**Ho, merde, dans quoi est-ce que je suis tombée,, moi...**

Le quadragénaire recula et, laissant Malicia voir par elle-même, éclata d'un profond rire de malade. Elle était en sa possession, et elle allait surclasser tous les bouseux qui avaient jamais bossé avec lui. Mais pas encore. Pour l'instant, ce n'était qu'une gamine mal dirigée. Mais bientôt, bientôt elle serait une nouvelle machine à tuer.
Papillotant des yeux, Anna-Marie fut d'abord aveuglée par la lumière. Une grosse lampe doublée d'une loupe circulaire avait été installée au-dessus de son front. Puis, s'habituant à la clarté, elle put voir autour d'elles qu'ils n'étaient plus seuls. Quatre autres hommes d'une certaine stature, avec des têtes de méchants balafrés, l'entouraient de leur présence menaçante. Le scientifique ricana.

-Je te présente Pack, Load, Ice et Apple Worm.

Les quatres types sourirent chacun à l'évocation de leur nom. Le premier avait deux larges canines inférieures qui dépassaient et un visage poilu et canin. Ses mains croisées sur sa poitrine velue indiquaient des sillons d'usures semblables à ceux laissés par des lanières en cuir. Le deuxième avait un œil de verre et le torse bardé de deux bandes auxquelles étaient accrochés des grenades explosives. Son bras gauche avait été remplacé par une énorme arme à feu greffée à partir du coude. Le troisième avait une coiffure à la mode et de larges gants blancs cachaient ses mains effilées. Le dernier était clairement un Mutant, avec un visage typique aux petits yeux, sans nez proéminent, une bouche en ovale. Ses talents n'étaient pas détectables à l'œil, et son surnom était un bien maigre indice.

-Ces quatre gars seront tes camarades pour tout le temps que tu passeras ici. Tu vas bien vite apprendre à les connaître et même à les aimer.

Sans prévenir, le directeur éclata d'un énorme rire salace, auquel répondirent en écho les types de son organisation. C'est alors que Malicia put réaliser qu'elle était complètement et entièrement nue.

Elle leva la tête autant qu'elle le pouvait et constata de visu qu'elle ne portait strictement rien sur elle. On l'avait déshabillée avant de l'attacher sur cette table. Sa première réaction fut de rougir violement, gênée et humiliée. Elle était offerte à la vue de ces types comme une pièce de viande dans l'étal d'un boucher... Quant à savoir ce que ses vêtements étaient devenus, c'était un mystère. Soit ils étaient rangés quelque part soit ils étaient détruits.

Malicia ferma les yeux et se mordit la lèvre innférieure pour l'empêcher de trembler. Et puis le cinglé en chef et ses sbires continuaient de promeners leurs regards lubriques sur elle en rigolant comme des balaines, l'entourant, l'intimidant de leur simple présence. La jeune fille avait froid. Des courant d'air parcouraient la salle et elle avait la chair de poule partout. Elle venait de monter d'un échelon dans l'horreur.

Qu'est-ce qu'ils allaient lui faire, maintenant? Toutes sortes d'images et de scénarios tous plus désagréables les un que les autres se formèrent dans sa tête. Et elle voyait son avenir s'assombrir de plus en plus avec chaque minutes qui passait. Elle était seule au monde. Pas de parents pour s'inquiéter d'elle, pas d'amis, pas de petit ami... Personne qui pourrait vouloir la retrouver.

L'adolescente se retenait pour ne pas pleurer, mais elle émettait ce qui pouvait passer ppour de petits gémissements désespérés entre ses dents serées.

- Laissez-moi partir... Laissez-moi tranquille! Qu'est-ce que vous me voulez à la fin!?

Le directeur avait beau se forcer, il ne pouvait s'empêcher de trouver ce corps répugnant. L'anatomie d'une Mutante. Ses hommes en revanche, étaient tout à fait intéressés par les formes de Malicia, qui se sentait à mille lieues d'être à l'aise. Les petits cris qui en témoignaient agaçaient le directeur. Cette petite devait devenir une arme. Il y avait décidément du travail, mais il avait bien une idée de la manière de s'y prendre...

-Ce que nous voulons faire de toi? Hahahahahah! Un guerrier bien sûr. Que dis-je, une arme!

Dans la main de l'homme entra dans le champ de vision de Malicia, un bocal empli d'une chose étrange. Cela semblait biologique, vivant, baignant dans un liquide nourricier. Il l'agita sous ses yeux, c'était une main humaine.
Il éclata à nouveau de rire.
Puis, il enfonça un doigt ganté dans la mixture, et déposa une goutte du liquide sur le front de la jeune femme.

Elle une arme? Elle avait du mal à tuer une maouche, alors comment pourrait-elle devenir une meurtrière? Elle n'avait pas l'âme du tueur, elle le savait très bien. Puis elle se rappella qu'elle avait ce don... qui lui permettait de tuer d'un simple touché si elle le voulait. Mais elle se refusit à l'utiliser comme celà. En fait, elle se refuait à l'utiliser tout court. C'était la pire chose qui lui soit jamais arrivé dans sa vie, ce pouvoir.

Une malédiction, voilà ce que c'était, et qui l'avait menée dans ce qui deviendrait son petit enfer personnel. Parce que, s'il voulait faire d'elle une arme, comme il le disait, il allait devoir commencer par la convaicre, sans doute la briser, pour la reforger comme il le voulait ensuite.

- Je ne suis pasune meurtrière. Il n'est pas question que je fasse celà!

Malicia regarda ensuite l'étrange chose qui flottait dans ce bosal qu'il venait de prendre. Une main... Humaine, apparement. Il trempa la doig dans le liquide et en fit tomber une goûtte sur son front. Elle ressentit le froid et le visqueux de la substance couler sur son visage. Et puis...

[HRP: Je ne sais pas ce que je suis supposé ressemtir alors je te laisse m'expliquer^^]

Au contact de la substance liquide, Malicia ressentit une secousse primale. Son corps s'agita de spasmes, uniquement retenu par de solide liens à la table d'opérations. Puis une fine couche de matière craquelée s'insinua sur tout le corps de Malicia. La surface, en pleine évolution, devint légèrement duveteuse. Quand Marie s'arqua sur ses membres, paniquée, la fine armure devint plus dure et rugueuse.

-Ce liquide nourricier est un Mutant. Ou plutôt c'était, puisque celui-ci a été réduit à l'état de protoplasme génétique. Ta réaction est tout à fait, tout à fait intéressante. Tu comprendras vite comment fonctionnaient les talents de Lifeguard.

Son regard calculateur se reposa sur la main plongée dans le protoplasme. Si elle réagissait ainsi à l'ADN de Lifeguard... L'ancienne man de chair et de sang de Skourge ferait des prodiges. Mais d'abord, il faudrait la briser, encore et encore. Et lui donner à ressentir le pouvoir de James ; et la briser encore, encore. Jusqu'à en faire une nouvelle terreur.

Malicia fut prise de spasmes violents au contacts de cette substance vivante, apparement un autre mutant réduit à cet état, ce que malicia trouvait répugnant. La douleur était incroyable, comme si tous ses muscles et ses merfs était tenus et en feu, prèts à se rompres. Et à celà s'ajoutait un changement physiques très bizarre, une srte d,armure fine et rugeuse qui lui poussa dessus, d'abord comme un duvet puis comme ue sorte de carapce rugeuse et dure. Elle sentait cette chose s'insunuer dans toutes les cellules de son cors, et dans son esprit aussi. Elle setait les relents d'un esprit vivant, et elle absorbait ces reliques de consciences en même temps qu'elle réagissait à l'ADN mutant.

-Que... M'avez-vous... fait...? Réussit-elle à dire malgré les spasmes et la douleur.

Elle ne contrôlait plus rien, son corps était comme possédé par cette transformation, et Anna-Marie arrivait à peine à penser, à parler ou à respirer. Elle voulait que ça cesse, et elle voulait qu'on la laisse tranquille. Les cinq paires d'yeux qui étaient braqués sur ele suivaient tous ses mouvements et ses réactions, et elle se sentais dans la peux d'un rat de laboratoire.

A sa question, le directeur regarda Malicia d'un air interpelé. Son sourire sale s'afficha silencieusement sur sa sinistre figure de faux bûcheron.

-Rien. Rien du tout. C'est ton organisme qui fait tout, et je ne l'ai même pas encore bricolé. C'est en toi, ma grande, tu es déjà une arme!

Extraordinaire, pensait-il. Elle n'était même pas consciente de son formidable potentiel. Demandant silencieusement l'assentiment de son chef, l'un des hommes le fixa en montrant la Mutante de la main. Puis Ice s'avança et posa son gant sur la gorge de Malicia. Celle-ci se recouvrit instantanément d'une couche de givre, puis d'une neige cristallisée qui grimpait sur son menton. La température en était glaciale. Et Marie devrait vite se rendre compte que c'était le moindre des mauvais traitements qu'elle recevrait.

Le froid, mordant, pénétrant, qui semblait voler son souffle et crisper sa gorge pourl'empêcher de respirer. Le givre recouvrit son menton et monta lentement vers ses lèvres. Elle avait l'impression de se changer en glace, que son sang allait se figer dans ses veines... Et elle savait aussi que ce ne serait que le début de ce qu'ils lui ferait subir.

La jeune mutante regardait avec désespoir vers les types qui l'entouraient, tentant de cpater ne serait-ce qu'une once de sympathie dans tous ces regards sadiques et cruels, mais en vain. Elle était pour eux une sorte de pièce de mécanique ou encore une poupée qu'il fallait remonter et fabriquer pour qu,elle fonctionne.

- Froid... Arrêtez ça... C'est trop ... froid...!

Ses lèvres devaient avoir virée au bleu tant elle avait froid. Cependant, elle ne pouvait pas agir sur l'homme qui la touchait car il portait des gants. Elle se demandait s'il attendait que toute sa tête ne soit transformée en bloc de givre avant de la lâcher. Elle tremblait de tous son corps, et elle claquait des dents. Finalement, il enelva sa main et fit un pas en arrière, le type appellé Ice - elle savait maintenant pourquoi - en lui jettant un sourire désagréable.

Et maintenant, qu'allaient-ils faire?

Voyant Malicia gelée et sans défense, le directeur hocha la tête. L'exposition à la substance chromosomes+chromatines Lifeguard avait été courte. Les effets étaient déjà estompés, mais il se demanda si un stimulus pourrait relancer leur usage sans renouveler le contact. Dans tous les cas, c'est à terme ce dont il aurait besoin pour cette arme Mutante. Il prit des notes sur un petit papier, qu'il inséra dans une fente latérale de sa large machine verte. Le robot cliqueta quelques instant, sous les regards perplexes des hommes de main. Puis, la machine cracha un ruban de papier recyclé, au bas duquel était lisible un seul mot :
Trépanation

-Bien sûr bien sûr, merci ordinateur.

Il frotta ses mains gantées l'une contre l'autre, et appuya les doigts sur le haut du front de la jeune femme, comme pour voir l'encéphale à travers son crâne.

-Pack mon petit. Renforce ses liens! Et que ça saute.

À l'ordre de son chef, le type appelé pack s'approcha de Malicia et resséra les liens de la jeune mutante contre la table de dissection. Malicia sentait que les derniersw effets de la substance avec laquelle ele avait été mise en contact se dissipaient, et elle recommençait à se sentir "elle-même", si on pouvait dire. Elle avait put voir la réaction du type à ce qui était sortit de la machine, un seul mot qui avait fait frissonner la jeune femme et l'avait fait pâlir.

Il voulait lui faire un trou dans la tête, maintenant? Jamais de la vie! Elle se débattit comme une tigresse tandis que pack renforçait et resserrait le plus possible ses liens. Elle avait retrouvé un second souffle d'énergie. Elle tenta de toucher le type pour le mettre KO, mais il était apparement moins bête qu'il n'en avait l'air car il restait hors de porté de la faiblep portée actuellede ses mains et de ses pieds. Elle l'efleura à pein, mais pas assez our avoir un véritable effet. Ça fit plus comme une grosse décharge d'électricité statique.

- NON! LAISSEZ-MOI! Vous n'avez pas le droit... de me faire ça! NE FAITES PAS DES TROUS DANS MA TÊTE!

Elle semblait un peu hystérique, maintenant. Elle commençait à avoir très peur et sa la faisait réagir assez bizareent. Elle se sentait comme une pauvre sourie prise au piège dans un labyrithe de fou. Elle n,arrivait as à trouver la sortie pour se libérer. Une foois que ses liens frent renforcés, elle vit que le sadique en chef se rapprochait avec quelques chose dans les mains. Malicia criait et se débattait. Ele pleurait, aussi.

Alors que le nommé Pack avait dû s'approcher pour serrer ses liens de cuir et en ajouter de nouveaux, plus larges et résistants, Anna-Marie était parvenu à frôler sa peau velue. Le contact avait été très court et quasi sans effet. Pack retira vivement son bras et eut le regard vide pendant une demi seconde. Lors de ce court moment, Malicia paniquée ressentit par une étrange aptitude qu'elle ne connaissait pas, la présence d'être vivants plus loin dans le complexe, qui semblaient l'appeler, la réclamer. Néanmoins leur intelligence paraissait étrangère et limitée, et Malicia eut vite besoin de toute sa conscience pour crier sa terreur. Le docteur délectait l'ampleur de sa souffrance par anticipation.

-Ice, gèle-lui la mâchoire. Elle ne doit pas bouger.

Le grand manitou portait une espèce d'énorme perceuse au laser, non sans difficultés. Pack, qui devait surveiller la solidité des entraves, semblait perturbé, son visage agité de tics nerveux, comme si quelque chose l'irritait ou lui faisait mal. Il finit par s'asseoir, tandis que Ice maintenait la tête de la Mutante. Load et Wormhole enfilèrent des gants de travail pour maintenir le corps de Malicia immobile durant la torture que serait l'opération chirurgicale.

Immobilisée comme elle l'était, les machoires figées et incapable de crier, malicia continuait de hurler dans sa tête. La jeune adolescente se disait que si l'enfer existait, elle était morte sans s'en rendre comtpes et y était descendue directement. Elle ne pouvait plus bouger, just regarder, et ses yeux bougeaient de droite à gauche et de haut en bas, comme des fous, tentant de tout voir et de tout enregistrer. Surtout, elle ne quittait pas des yeux le sadique en chef avec sa perceuse.

- Humphhh...

Elle émit un son qui était à mi-chemin entre un chuitement d,air qui s'échappe et une râclement de gorge. C'était le seul son qu'elle était capable d'émettre dans sa position, mais ul faisait bien comprendre toute sa terreur et toute sa frustration. Elle voyait cet engin horrible s'approcher de son front...

Malicia réagissait de toute la frayeur de son corps, en dépit de l'immobilisme forcé auquel elle était soumise. Sous la violence de la menace, son corps réagissait vivement au danger. Sous sa peau, elle sentit comme des millions d'épingles. Son visage déformé par la peur et la glace lui faisait atrocement mal. Dans une pièce au loin, des hurlements animaux se firent entendre et le directeur eut un mouvement de recul. Il vociféra :
-Pack, tiens tes bêtes! ... Pack?

L'homme au visage canin avait le visage qui perlait de sueur, les dents serrées il respirait lourdement. Load, alerté, dégaina un énorme fusil qu'il pointa sur Anna-Marie :

-Arrête ça tout de suite, sorcière! Ou je te fais sauter les jambes. Le boss peut les faire repousser, mais t'imagines même pas la douleur.

Malicia cependant, subissait une étrange métamorphose, alors que les hurlements à la mort s'approchaient et s'intensifiaient. La peur était partagée dans la pièce, et proche de la panique.

Depuis son fugitif contact avec pack, malicia ressentais vivement des sensation étrange, et comme un étamorphose. Elle sentait la présence d'animaux, des créatures vivantes, plus loin dans le complexe, qui la réclamaient et l'appelaient. Elle répondit instinctivement à cet appel en leur disant de venir. Elle ne savait trop comment mais elle sut qu'ils avaient comprit et répondu. mais en même temps, elle sentais que ce contrôle qu'elle exerçait lui glissait entre les doigts. Elle se battait contre Pack pour le garder, mais il avait plus d'expérience, de prstique , et elle, elle réagisaait à l'instinct, conduite par la terreur.

Son visage lui faisait horriblement mal, et elle sentait les liens qui lui comprimaient douleureusement le corps en plusieurs points. Elle enttendait et sentait tout en même temps la meute qui approchait. Et elle sentait que le contrôle commençit lentement à lui échapper car le contact n'avait pas été assez long. Et elle n'en avait pas absorbé assez. Elle sentait maintenant de al confusion et une certaine forme d'attente de la part des bestioles, comme si elles se demandaient laquelle de deux voix écouter. Dans quelques instants, malicia ne pourrait plus du tout les sentir. Et ils n,avançaient plus, confus. Ils s'étaient même arrêtés. Pack reprenait le contrôle, la supplantant.

Malicia se disait bien que c'était trop beau pour durer. Elle tenta de se raccrocher au dernier lembeaux de contrôle qu,ele pouvait bien avoir et elle r.ussit à reprendre très temporairement le dessus. Elle transpirait malgré la glace qui lui déformait les traits. Elle plissait le front sous la concentration. maisne elle perdit le contrôle encore une fois, et cette fois pour de bon, juste au moment ou les bestioles arrivaient dans la salle. PAck, le type canin, eu un sourire triomphant à son égard. Il ne fallut pas longtemps pour qu'il renvoie ;les bêtes d'où elles étaient venues. malicia, tout comtes fait, ne s'était gagné que quelques minutes de répit. Son corps revenait à la normale, maintnant. Elle se rendit seulement aors comptes que Load pointait une arme sur ses jambes et menaçait de les lui faire sauter. Comme elle ne pouvait rien y faire, elle lui jetta un regard plein de confusion et de peur.

Load regardait Malicia d'un air vaguement dégoûté, alors qu'elle avait utilisé les pouvoirs de Pack dans un vain effort qui l'avait épuisé. A dire vrai, il était effrayé par un tel potentiel. Mais plus simplement, il avait eu envie de lui faire mal dès le premier instant où il l'avait vue, si fragile. Et pourtant un si énorme espoir pour le boss.
Juste pour prouver son propos, et pour évacuer les violentes émotions qui le déchiraient, il arma son flingue géant et... Malicia entendit un énorme bruit d'explosion et s'évanouit.
C'est torturée par une insoutenable douleur qu'elle reprit connaissance une seconde plus tard, juste assez tôt pour sentir une seringue de puissants tranquillisants lui rentrer dans le cou.

"Au moins, nous avons vu qu'il était inutile d'opérer à la trépanation," dit le directeur d'un ton détaché.

Puis Anna-Marie se rendormit, trop mal pour réaliser que ses deux jambes n'étaient plus que des cratères.

Malicia navait eu que peu consceince des dernières secondes de la petite "opération" qu'elle venait de subir. Elle était épuisée physiquement et mentalement par l'effort qu'elle avait dut fournir pour contrôler pour un court moment les pouvoirs de pack. Donc, elle avait enttendue un grand "bang", ressentis une douleur terrifiante dans les jambes, et enfin perdu conscience.

Et elle se réveilla juste assez longtemps pour sentir une piquere dans le cou, mais pas assez pour se rendre comtes qu'elle n'avait plus que deux cratères à la place de ses jambes, là où Load venait de tirer et de les faire exploser en miettes. Malicia poussa tout de même un seul cri de douleur avant de se rendormir, ou plutôt de perdre conscience, sans doute pour un long moment.

Sa dernière pensée avant de sombrer dans le nooir fut pour ses parents, qui étaient morts depuis plus de 7 ans, maintenant, et qu'elle aurait tout donné pour rejoindre en cet instant.

[HRP: je crois que celà conclut la première journée des vacances de malicia à l'Arme X^^ On a plus qu'à passer à la suite...]