Perdue...

Anna-Marie, qui depuis sa fuite de l'orphelinat où elle avait été placée suite à la mort de ses parents, avait prit le nom de malicia, se sentait très seule et désorientée. Elle était maintenant assise à une table, dans le fond d'un petit restaurant minable sur le bord d'une route perdue, quelque par en Alberta, au Canada, et elle regardait sans les voirs les autres clients, peu nombreux, de l'endroit. Elle ressassait dans sa tête les évènements qui L'avait menè jusque là: la kort mystérieuse de ses parents, son arrivée à l'orphelinat et les trois années qu'elle ybavait passé, et puis, il y avait huit mois de celà, l'apparition impromtue et innatendue de ses pouvoirs mutants... Par un simple touché, cette adolescente avait le pouvoir de prendre l'essence vitale des autres, et peut-être, qui sait, si elle gardait le contact assez longtemps, de les tuer...

Elle ne savait plus quoi faie ou vers qui se tourner, mais cependant, malgré les conditions misérables dans lesquelles elle vivait, et la précarité de sa situation, elle gardait l'espoir de voir les choses s'améliorer pour elle, un jour. Elle essayait de trouver de l,aide, mais elle ne savait pas rop où regarder. Elle savait seulement que, quelque part au Canada, il y avait des gens qui prenaient doins des ersonnes comme elle, des mutants... Elle les cherchaient depuis des mois, maintenant, mais elle devait passer le plus clair de son temps à éviter les gens. Elle ne voulait plus bellser personne.

- Vous avez terminé, ma mignone? Lui demanda alors un voix près d'elle, et elle leva les yeux. C'était la serveuse. Elle demanda encore: Je peux débarasser?

- Heu... Oui, ça va, j'ai terminé. Merci, madame.

- D'accord, chérie. Lui répondit-elle avec un sourire fatigué, et elle tendit la main.

Sans le faire exprès, Malicia avait tebdu la main en même temps, et le gant qu,elle portait pour éviter le contact avec la peau avait un peu glissé, et les doigts de la femme effleurèrent son poignet nu. Celle-ci sursauta et retira vivement sa main comme si elle s'était brûlé, puis regarda la fille avec stupéfaction, pis avec peur et colère. Malicia tenta maladroitement de s'excuser, tout en replaçant correctement son gant, mais bientôt, on aurait dit que tous les regards des gens de l,endroit étaneit tournés vers elle. Des regards hostiles et furieux...

- Une mutante! Fiches le camps de mon établissement, monstre!

Sans demander son reste, les larmes aux yeux, Malicia courut et sortit dehors, puis elle gagna la route. Elle marcha une bonne heure avant de s'arrêter, épuisée et triste. Voilà pourquoi elle évitait la compagnie de ses semblables. maintenant, il faudrait vraiment un miracle pour qu'elle retourne près d'un endroit habité...

Elle entendit alors un bruit de moteur, qui approchait d'elle. Elle se retourna, mais elle ne fuit pas tout de suite. Elle resta là et attendit.

IL venait de repérer une mutante grâce à son déctécteur de mutant. En plus, elle paraissait très puissante, oui, la mutante la plus puissante qui soit ! IL devait la faire venir ici! Mais c'était trop tôt, rien n'était encore prêt, ni personne. IL devait lui-même s'en charger. IL avait alors préparer son énorme 4X4, y avait mis quelques fléchettes soporifiques et paralysantes ( on ne sait jamais avec une mutante ), et s'était couvert : le froid qui régnait dehors était semblable à celui qui faisait rage au niveau de cercle glacial Arctique. IL avait une chaude et solide combinaison rembourré, sur laquelle IL avait passé un gros manteau de foururre. Ses bottes étaient équipées de crampons, ses gants disposaient d'un petit système de chauffage. IL était paré. La mutante n'avait qu'à bien se tenir.

Elle se tenait devant un bar, ne bougeait pas. Elle semblait aux aguets. La route depuis le Centre n'était pas longue, mais la neige rendait les routes particulièrement dangereuses. IL s'arréta à proximité de la jeune fille, descendit de son énorme engin, et sans enlever ni son bonnet ni ses lunettes, il s'adressa à elle :

-Bah mam'zelle, faut pas rester là par ce froid! Vous allez attraper la mort.

Le dégout que mui inspirait la mutante suffisait à lui faire prendre un accent de fermier.

-V'nez rentrer au chaud.

Il savait parfaitement qu'elle s'était faite virée du bar à cause des ses pouvoirs, et qu'elle n'y remetrait pas les pieds. Maintenant, il voulait voir comment elle réagirait. Si elle était comme il s'y attendait, elle ferait une bonne recrue!!!

L'adolescente débraillée regarda le pick-up se garer rès d,elle sur le bord de la route avec un air suspicieux et méfiant. Elle surveilla le type alors qu'il en descendait, se demandant s'il ne venait pas de la taverne qu'elle venait de quitter, pour en remettre encore par rapport à l,incident qui venait de se passer. Elle était tout le temps méfiante, et envers tout le monde, c,est pourquoi elle gardait généralement un profil bas et ne fréquentais pas les lieux populaires, où il risquait d'y avoir pas ma de monde. Elle était presque devenue une associale à cause de ses pouvoirs.

mais quand il parla, elle comprit qu'il ne venait pas de cet endroit, qu,elle pouvait voir pas très loin derrière. Mais il lui proposa d'y rentrer pour se réchauffer... Pour se faire jetter de nouveau? pas question! Ils savaient qu,elle était une mutante, là-dedans, et elle ne voulait pas se faire lyncher par cette foule de cul-terreux en colère.

- Non, je préfère pas... merci quand même... monsieur. Ajouta-t-elle comme à contrecoeur, sur le ton de quelqu'un qui se sentait forcée d'être polie.

Ensuite, elle jatta un coup d'oeil, et vit quelques personnes étaient en train de sortir du bar. Des gens qui avaient été témoins sde l,incident, plus tôt... S'ils la repéraient, elle serait encore la proie de ces salauds d'ignorants qui voudraient la lyncher parce qu,elle était différente d'eux.

Elle sentait la colère la gagner à cette idée. Elle n,avait pas demandée à être différente! C'était arrivée, c'est tout, et elle ne pouvait rien y changer! Même si son plus cher désir était d'en être débarassée et que sa vie recommence comme avant. Sans un regard de plus vers l'homme qui venait de l'aborder, elle repartitm le long de la route, s'éloignant rapidement de l'endroit avant d'être repérée.

Encore des ivrognes qui sortaient du bar! Et la fille commençait à lui échapper! Non, ce n'était pas bon, pas bon du tout! IL devait y remédier! Tout d'abord, faire en sorte de "protéger" la fille, et après, IL verrait ce qu'IL ferait de ce poltrons saouls.
Il remonta dans son pick-up, démarra le moteur, et entreprit du faire marceh-arrière pour se retrouver au niveau de la fille. IL avançait aussi vite qu'elle, plutôt aussi lentement.

-Mam'zelle, z'allez vous geler là-d'sous! Pourquoi z'êtes pas allée dans le bars?

La jeune fille sembla accélerer le pas.

-Vous m'fuyez?! Z'avez surement raison, moi aussi j'suis tout seul! Un parias, comme on dit chez nous! Allez, montez!

Il lui fit signe de la tête en désignant la portière, et attendit sa réaction !

Elle entendit la porte du Pick-Up se refermer derrière elle et puis le type se mit à la suivre, et il lui demanda pourquoi elle n'acait pas vulu retourner dans le bar, pour se réchauffer. Elle soupira. Ça ne finirait donc jamais? On ne pouvait pas juste la laisser tranquille? C'est tout ce qu,elle demandait. Elle s'arrêta de marcher et se tourna de nouveau vers l'homme qui lui parlait. Il avait l'air sympathque, et il semblait vraiment vouloir lui donner un petit coup de main. Elle répondit lentement et en hésitant un peu à sa première question.

- Je n'aime pas ce genre d'endroits... Et puis, je risque de me faire jetter, je n'ai pas vraiment l'âge d'y entrer, vous voyez?... Enfin, c'est pas grave...

En fait, ce n'était pas ;a stricte véritée, même si elle avait put constater lors de sa première visiye de l'endroit qu'on ne prêtait guère d'attention aux détails tels que l'âge légal des individus pour entrer dans ces établissements... la vraie raison, elle ne la dirait pas, car la réaction de cet homme, aussi sympathique pouvait-il paraître en ce moment, serait très certainement de la fuir et de la traiter de monstre.

Puis, il lui dit de monter s'asseoir et de se réchauffer dans son camion, en lui faisant un si=signe de tête vers le côté conducteur. Elle hésita un long moment, se demandant si elle avait envie de risquer encore de se faire jetter...

**C'est ça, vas-y ma vieille! Et quand il va se rendre compte de ce que tu es, dans quelques kilomètres, il va te jetter de la voiture en marche! T'es débile ou quoi?** Pensa le côté terre-à-terre et rationnel de son esprit, mais elle se réprimanda elle-même intérieurement: **Enfin, merde, je vais pas me taper les 100 prochaines bornes à pieds? Je peux bien accepter un petit transport, et je vais être peudente... il saura pas ce que je suis...**

- D'accord, monsieur, merci... Dit-elle en montant diu côté passager. Est-ce que ça vous dérange de me conduire à la prochaine ville?

La conduire à la prochaine viille, quelle idée! IL ferrait même mieux, il l'emmenerait dans son labo!!!
Mais, tout en roulant, faisait mine d'aller vers la vile la plus proche, IL réfléchissait à un moyen de la retenir, pour ne pas qu'elle use de ses horribles pouvoirs, et ce avant qu'elle ne se rende compte qu'ils ne se dirigeaient pas vers la prochaine ville. IL avait bien des somnifères dans sa poche, mais pas de quoi les dissoudre! Alors que faire? IL devait faire vite, la route s'arrétait bientôt, et IL voulait l'emmener non à droite, mais à gauche!!! En attendant, pourquoi ne aps engager la conversation! Parler avec une mutos le révoltait, mais il n'avait pas le choix s'il voulait la distraire!

-Et sinon, d'où vous v'nez? Pour être habillé comme vous l'êtes, vous devez venir du Sud?

Malicia était restée silencieuse depuis le début du transport, et elle s'était placée le plus loin possible du conducteur du véhicule. Elle avait gardé ses gants et ses mains étaent posée sur ses genoux. Elle regardait alternativement la route devant eux, et son"bon samaritain", mais elle sentait sa nervosité et sa tendion monter.

Elle ne savait pas pourquoi, mais quelque chose lui déplaisait et la rendait méfiante chez ce type... Peut-être que c'était juste de la paranoïa galopante, ou alors, peut-être qu,elle ferait bien de se méfier...

- Oui, c'est ça, je viens du sud... Dit-elle laconiquement. J'ai pas envie d'en parler. C'est pas intéressant de toute manière.

Maintenant, ils approchaient du croisement qui la menerait à sa prochaine destination, la ville voisine... Ils y seraient dans quelques minutes. Alors qu'ils approchaient, le type semblait devenir plus nerveux, comme si quelque chose le turlupinait. Malicia le regardait encore du coin de l'oeil, et elle décida de parler un peu, elle aussi, ne serait-ce que pour tenter d'en savoir plus sur ce type.

- Mais et vous, vous faites quoi dans la vie, à part aider les fille qui se font jetter des bars?

La tension montait dans le véhicule. D'un côté, IL réfléchissait à toute vitesse pour pouvoir la "manipuler" come il le désirait, de l'autre, la mutante semblait comprendre petit à petit son petit manège. IL devait trouver une parade. Mais quoi?

-Oh, m'amzelle, si tu commences à vouloir savoir c'que j'fais dans la vie, t'es pas descendu d'cette voiture, j'te l'dis moi! Mais si t'y tiens, j'te raconte!

IL espérait captiver suffisamment l'attention de la mutante pour la distraire, et l'emmener où IL le voulait!

-J'viens d'un p'tit village un peu plus haut, j'suis bucheron! Mais ça m'plait aussi d'descendre dans l'ivallge, pour aider les jolies m'amzelles dans vo't genre! Pis après, j'descends dans la ville où j'fais la tournée des bars avec les potes! Pis l'soir, rendez-vous chez moi, j'mendors, et v'là que la journée recommence!

IL s'était embrouillé dans son histoire, et espérait qu'elle ne l'ait pas remarqué. L'embrancheùent était passé depuis quelques mètres seulement, IL devait absoluement trouver une autre parade.

-Et, j'peux savoir pourquoi les gens du bars vous ont foutu dehors? C'est pas l'genre de la maison pourtant!

Malicia l'Avait écouté et son attention avait été divertie de la route devant elle. Elle n'Avait donc pas porté attention à la direction qu'ils avaient prise au croisement, ce qui ne jouait pas à son avantage. Elle trouvait le personnage assez coloré, en fait. Elle ne croyait pas que les bûcheorns, ça existait encore. En fait, elle croyait que tout ce genre de boulots, ça se faisait par des grosses machines.

Mais sa nervositée ne l'avait pas quittée, et finalement, elle reporta son attention sur la route. Et puis, elle avait hâte de descendre, maintenant. Elle ne voulait pas rester là plus longtemps que nécessaire.

- Je ne pensais même pas que les bûcherons, ça existait encore... Répondit-elle pour dire quelque chose.

Ensuite, quelque chose sonait faux dans le petit discour qu'il venait de lui tenir... Mais elle n'arrivait pas à mettre le doigt dessus. Quelque chose sonnai faux dans toute cette situation, et elle commençait à avoir un êu la trouille. Puis il lui demanda pourquoi elle s'était faite jetter du bar. Là, elle se demanda ce qu'elle devait répondre... Pas la véritée car elle se ferait éjecter à coup sûr. Elle opta pour la simplicité.

- J'avais pas d'argent pour payer la bouffe. Je l'ai perdu, j'imagine... Le patron à pas été content et il m'a fout dehors en me disant de ne pas revenir. Elle haussa les épaules, et ajouta: J'ai jamais de chance. C'est une autre manifestation de ma poisse perpétuelle.

Enfin, elle porta une attention plus soutenue à la route, se détournant de son interlocutteur pour regarder à travers ole pare-brise, et quelque chose n'allait vraiment pas. Elle ne connaissait certes pas la région mais elle se disait qu'ils devraient commencer à voir apparaître les premiers bâtiments annonçant une ville. Mê me une petite ville...


- Vous êtes certain que nous allons dans la bonne direction? Demanda-t-elle d'un ton nerveux et tendu, et elle ajouta, plus fort: Où est-ce que nous allons?!

Lorsque la jeune mutante lui demanda si ils allaient en direction de la ville, il tiqua, et recommença lorsqu'elle le questionna sur leur point d'arrivée. Elle ne devait rien découvrir pour le moment, c'était trop tôt. Depuis la fin de l'engagement de James, l'arme X avait essuyé défaite sur défaite, mais à présent, avec LUI à sa tête,e t cette mutante comme arme, cela ne serait pas pareil. Tout allait pouvoir recommencer, et les humains seraient bientôt supérieures en nombres aux mutants!!! La guerre allait commencer, et l'arme X serait le chef de file de l'amrée humaine, mais comporterait... des mutants. Aliés, ceux-ci ne ferraient aps de dégats, et une fois qu'ils auraient terrassés les leurs, IL pourrait les éliminer! Un grand sourire cruel vint illuminé son visage caché par sa grand chapeau, dévoilant des dens dans un sale état, tout comme une haleine fétide.

-Nous arrivons, ma chère, lança-t-il en direction de la jeune mutante, qui attendait sa réponse. Nous serons bientôt arrivés!

Mais ils n'arriveraient pas dans une ville, mais dans le Complexe arme X!!!

Aahaha, IL avait gagné. Elle était terrorisée, plaquée sur son siège. IL avait réussi, IL tenait son arme, sa mutante qui lui permetrait de gagner contre ces satanés mutants! IL avait enfin réussi. Et cette fois ci, il ne laisserait pas son mutant s'échapper, comme il l'avait fait pour l'autre.

-Nous sommes bientôt arrivés, mam'zelles, dit-il en gardant son accent. Là se situe l'oeuvre de ma vie, l'oeuvre du MONDE!

IL était très certainement devenu fou, mis cette folie le maîtrisait, il était arrivé à la maîtriser. Une folie contr$olée, il n'y avait rien de pire. Ni lorsqu'on n'avait plus rien à perdre. Devant la mutante terrifié se tenait sans aucun doute l'ennemi le plus fou, mais aussi le plus dangereux, des mutants.

Malicia se rendait aintenant compte à quel point elle était en danger. Cet homme était fou, elle pouvait le voir à son ton et à son expression. Il était complètement et totalement fou, et celà le rendait très dangereux... Elle ne savait toujours pas ce qu'il lui voulait, mais elle était certaine d'une chose, elle ne voulait pas le découvrir.

- Vous êtes cinglé... Dit-elle d'une voix certe terrifiée, mais aussi déterminée, emmetant une simple vidence, une terrifiante evidence qu'elle venait tout juste de découvrir.

Elle ne se laisserait pas faire sans tenter de combattre, au moins! Adolescente ou pas, elle ne voulait pas être tuée ou encore servir de cobaye à un espèce de... En fait, elle ne savait pas ce qu'il était ou prétendait être, et elle s'en foutait. Ils roulaient encore t^rop vite pour qu'elle tente de le mettre hors d'état de nuire, mais elle essaya, doucement et discrètement, de débloquer le verrou de la serrure. Et pour détourner l'attention du bonhomme et le faire parler, elle demanda, gardant son air appeuré pas si faint que celà.

- L'oeuvre de votre vie? Que voulez-vous dire? Qu'est-ce que c'est? Et en quoi est-ce que ça me concerne?

Ah, elle s'interrésait enfin à ce qu'IL faisait! Elle s'était sans aucun doute rendue compte que c'était la seule chose à faire, mais aussi la meilleure.

-Tu verras ce à quoi je travailles, depuis des années, oui, des années! Et je suis certain que tu en seras, ébahis!
En disant cela, il s'était tourné vers la jeune fille, et la regardait fixement avec ses yeux vertes exorbités derrière ses lunettes.

Ils arrivèrent à un second embranchement, IL prit encore une fois à gauche. La route dura encore quelques instants, avec qu'ils n'abordent un chemin consituté de rocailles, et de grosses plaques de verglas!

-Encore trois minutes de patience ma jolie, et tu verras, oui tu verras...

Trois minutes... Et ce cinglé ne semblait pas prèts à vouloir s'arrêter, ni ralentir le moins du monde! Io avait même accéléré!

Elle avait sentit une trésistance du loquet qu'elletravaillait depuis quelques minutes déjà. Cependant, le trucs ne voulait pas céder. Il était définitivement coincé... Probablement volontairement, selon elle.

- Je ne veux pas travailler pour vous, vous êtes dingue! LAISSEZ-MOI SORTIR DE CE CAMION! Cria-t-elle enfin.

Dans le même temps, elle se jetta vers lui, bondissant du coin de la cabine où elle s'était tapie pendant les quelques dernieres minutes, et attrappa le volent des deux mains. Elle tira vers elle et la voiture fit une embardée et se dirigea vers le bas-côté de la route, et le fossé qui la longeait. Malicia ne voulait pas se retrouver seule avec cet homme plus longtemps. tant pis s'ils avaient un accident! Elle préférait encore ça à la perspecive de ce qui risquait de lui arriver s'ils arrivaient à destination.

La petite sotte allait les emmener tout droit dans un accident! Elle était folle à lier... voilà qui LUI plaisait vraiment. En plus d'être puissante, la mutante était un peu dérangée! Voilà qui arrangerait bien ses affaires!!!
Elle avait bonidt sur le volant comme un tigre sur sa proie,e t ne voulait plus le lâcher. Elle ne comprenait donc pas qu'ils iraient droit à la mort si la voiture se renversait?

-Lâche ce volant, mutos, rugit-il de colère en l'empoignant violamment.

Mais c'était peine perdue, elle tenait très fixement le volant. Et soudain...


( HJ : Malicia, à toi d'imaginer, soit accident, soit tes pouvoirs... )

Soudain, Malicia tira violement le volant vers elle et le voiture fit une violente embardée. Elle tourna et se redressa sur ses deux roues côté chaufeur, avant de commencer à faire des tonneaux. La jeuen mutante fut secouée dans tous les sens, et elle se cogna violement la tête. Elle vit trente-six chandelles...

- HAAAA! MERDE!...

Elle eut juste le temps de penser qu'elle était folle à lier d'avoir fait une chose pareil et qu'elle allait se tuer dans l'entreprise. Elle fut éjectée du véhicule et vola sur plusieurs mêtres avant de heurteur violement une pierre qui dépassait du sol. Elle sentit un craquement plus qu'elle ne l'entendit, dans son bras droit, et elle se cogna encore plus durement la tête.

Elle ne vit ensuite plus rien du tout car elle perdit conscience...

[HRP: Pour la suite, tu fais comme tu veux... Soit tu es blessé ou pas, moi en tout cas, je suis KO!^^]

La voiture fonçait droit vers le bas-côté, et rien ne pouvait faire changer la mutante d'avis, ni de direction! Ils allaient droit vers l'accident.

Soudain, tout se précipita. La mutante fut éjectée de la voiture, alors qu'IL restait assis au volant, mais très choqué. IL resta plusieurs minutes assis, sans rien faire, quand il sembla enfin reprendre connaissance. IL devait maintenant se mettre à la recherche de la mutante!

La nuit était tombé, et IL ne voyait pas très loin. IL la vit enfin, allongée au sol, la tête reposant contre une pierre. Près de son bras droit une petite mare de sang s'était formée.

Bien ue cela le répugne au plus au point, IL ne put faire autrement, et prit la mutante dans ses bras : direction le Complexe arme X.

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