Une journée qui commencait pourtant si ien... [10/03/07 tôt]

Susan entra dans la cuisine. Elle regarda rapidement aurour d'elle, et vit qu'elle était seule. Puisqu'il n'était que 7h du matin, c'était plutôt normal, en particulier un DIMANCHE matin. Son frère n'apparaîtrait pas avant au moins trois bonnes heures, mais Reed ne devrait pas tarder à se lever, lui. Si ce n'était déj;a fait... À moins, évidemment, qu'il n'ait passé la nuit dans son labo, comme il le faisait souvent.

Enfin bref, Susan était toute seule, et elle se dirigea vers le frigo. Elle prit un paquet de jambon et des œufs, et commença à se faire un êtit déjeuner. Et puis, elle se servit une tasse de café, tout en s'installant à table et en ouvrant devant elle le journal du matin. Comme toujours on parlait beaucoup du problèmes mutant de plus en plus présent et de la multiplication des superhéros et des personnes avec des pouvoirs dans le monde entier. Elle parcourait avec attention ces articles. C'était très intéressant de se mettre au courant de celà. Cependant, eux-mêmes n'avait jamais eux à faire face à la peur et à la colère. Les fatastiques étaient appréciés et aimés des New-Yorkais, depuis leur touts début quelques mois plus tôt. Quatres mois et treize jours, pour être très précise...

Elle entndit alors des pas et leva la tête vers la porte de la cuisine. Reed entra, et elle vit tout de suite qu'il n'avait sans doute pas dormi de la nuit... C'était la troisièmes fois cette semaine.

- Reed, tu ne devrais pas rester tout le temps dans ton labo, comme ça. Tu vas finir par tomber malade si tu ne dors pas assez. Ce n,est pas bon pour toi...

Il se tourna vers elle et lui sourit. mais en fait, il avait l'air fatigué. il se versa une tasse de café, et s'assit près d'elle à table. Il prit une longue gorgée de café et reposa la tasse maintenant à moitié pleine devant lui.

- je ne peux pas vraiment me permettrede dormir, Susan. J'ai promis à Ben que je trouverais un moyen de lui rendre son apparence ghumaine et c'est une promesse que je comptes bien tenir.

- Je sais Reed, mais tu te surmène trop. je suis certaine que Ben dirait comme moi. reposes-toi un peu de temps de temps. Tu sais, je...

Elle n'eut pas le temps d'aller plus loin car elle fut brusquement interrompue par une explosion qui fit voler en éclats les vitres de la salle. Elle leva immédiatement un champs de force pour se protéger des débris de verre. Puyis elle se leva, et Reed aussi, et ils regardèrent vers la fenèrtre pour voir ce qui se passait...

Voyant leurs attaques déviées, à l'apparition d'un troisième protagonistes deux des assaillants de Sue se tournèrent vers lui pour le mitrailler, tandis que le troisième faisait son possible pour les couvrir.
Cependant, James qui était désormais en première ligne face à Johnny, lui envoya un solide coup de poing qui visait sa tempe, afin de l'empêcher de nuire dès l'arrivée.
Face à Reed, voyant que la force ne triomphait pas vraiment, l'un des voyous se saisit de la cafetière pour jeter son contenu brûlant sur l'homme élastique. Un autre, le plus jeune du groupe, à peine pubère mais déjà solidement constitué, le mordait, à bout de patience et de moyens.
L'un des adversaires de Reed enfermé dans le repli de son corps avait demandé, en entendant le jeune Storm parler "C'est le juif?"

Johnny évita le coup, et il fila vers le plus près pour le faire tomber à la renverse dans un jet de flammes oranges grndantes.

- Hé hé! Raté! T'es trop lent, limace!

Et Suzan profita de la diversion créée par son frère pour rapper par derrière l'autre mitrailleur et lui mettre la pâtée. Elle le tapa sur la crane avec la seule arme qu'elle avait eu le tmps de saisir dans cet endroit: une poêle à frire. pas très original, mais très efficace.

- Johnny, ce n'es pas le temps de faire de l'esprit! Et essaien au moins de ne pas tous les griller. Il faudrait en avoir un cojnscient pour savoir ce qu'ils veulent.

De son côté Reed ne s'en tirait pas trop mal non plus, mais le contenu de la cafetière, brûlant,qu'il venait de recevoir en plein visage, l'aivait momentanément et il avait permis aux lascar qu'il avait retenu jusqe là de lui échapper. mais ça ne dura qu'une minute, et quand il fut de nouveau en état de reprendre le combat, il dit:

- Quel manque d'imagination... Et de convenance!

Et puis, il enrubana les qutres types qui se trouvaient encore devant avec ses baras, deux dans chaquns, et il se tourna ensuite vers Suzan et Johnny, qui semblaient s'en tirer très bien. Il restait encore un tye, celui qui venait de tenter d'assomer Johnny d'un coup de poing.

Les trois des quatres fantastiques qui étaient là furent plus déconcertés par les cris de leurs attaquant que par les balees elles-mêmes. Évidement, avec son tact habituel, ce fut Johnny qui mit des mots sur leur réaction à tous.

- Mais qu'est-ce qu'y nous fait, ce barjo? C'est quoi ce délire?

Mais il semblait que Reed et Suzan avaient un peu mieux comprit ce que ces cris voulaient dire. Quoi qu'il en soit, ils devaient tout de même calmer ces types avant de faire autre chose. les zigottos qui étaient saucisonnés pas Reed se débattaient comme des beaux diables, et il n'eut pas raiment le choix , pour éviter qu'ils ne réussissent à se ;libérer et à se remettre à taper et tirer dans le tas comme des sourds, de les assomer en les éttouffant juste ce qu'il fallait. Il les déposa ensuite sur le sol. Johnny tournait autour du type au fusil qui avait commencé ses hurlements et il le distrayait fort bien en l'entourant de flammes brûlantes. mais Suzan lui cria, exaspérée:

- Johnny, tu vas mettre le feu à toutes la maison! Arrêtes ton cinéma et contentes-toi de finir le boulot!

- Ben quoi? Qu'est-ce que j'ai fait encore? Dit l'intéréssé d'un to un peu boudeur.

Il stoppa néanmoins ses fariboles et de contenta de viser le fusil du type jusqu'à ce qu'il rougeoit et qu'il ne puisse plus le tenir. Suzan, de son côté, avait enfermé dans un champ de force les deux bonhommes qu'i¸elle venit de désarmer et qui se trouvaient devant elle.

Maintenant, ils étaient tous désarmés ou inconscients. Il était plus prudent d'immobilise raussi celu qui semblait leur chef. Reed s'en chargea et en profita pour se rapprocher de lui. Il semblait particulierement intéressé à avoir des explications.

- Vous êtes calmés maintenant? Parce que j,aurais quelques petites questions à vous poser l'ami.